Les jours s'enchainent et se ressemblent. Je manque toujours de rythme et d'écriture personnelle dans mes deux articles parus aujourd'hui sur l'art aristocratique et la force. L'écriture par IA est satisfaisante auprès de la masse à fortiori puisqu'elle n'a pas le niveau intellectuel pour en déceler les points faibles, mais cela ne saurait s'accorder ni rigoureusement sur le fond, ni stylistiquement sur la forme dans une démarche d'élévation de ladite masse. Les articles restent vagues, peu stimulants, et même irait-on jusqu'à dire frustrants, ce qui entre en conflit avec une apparence pourtant soignée et organisée. Il est à espérer que le pli sera pris d'ici la semaine prochaine pour proposer des articles seulement accompagnés par l'IA et non plus entièrement rédigés par cet outil. De toute façon, par essence, la production est suffisamment orientée pour correspondre grosso modo au sens que le texte doit prendre, alors il me faut assumer malgré tous ses défauts initiaux la responsabilité de la publication des articles du blog. Le journal de bord me permet au moins une rédaction personnelle, qui viendra, laisse-t-on le supposer, automatiser plus tard cette tâche d'écriture si difficile à faire sortir.