En voulant me lancer dans une refonte complète des sciences pour l'unification des forces fondamentales, j'ai consacré beaucoup de temps à l'exploration philosophique d'une nouvelle compréhension métaphysique de l'univers. L'idée est simple : le préunivers est une lumière absolue composée de deux êtres duels (matière et antimatière) et d’une essence (raison). La naissance de l'univers marque la rupture d'équilibre entre ces deux êtres, une rupture initiée par un principe fondamental : la mutagénèse.

Si elle introduit un apparent désordre par la multitude d'objets créés chaotiquement, il faut comprendre que la nature fondamentale de l'ordre est dynamique. Le mouvement existait déjà dans le préunivers : sans lui, l'univers n'aurait pas pu naître. Les forces y restaient équilibrées. Cette conception d'un univers dynamique renverse donc l'idée d'un espace statique et critique également les théories relativistes, en ce qu'elles postulent des constantes globales.

En plaçant le mouvement au centre de cette réflexion, chaque objet se voit attribuer un rythme local et un rythme global, englobant des variables traditionnellement perçues indépendamment : l'espace, le temps, la masse et la force. Ce rythme local est défini par la formule :

Rₗ = k ⋅ (F ⋅ v) / m

1. Rₗ : Le rythme local
2. F : La force (en Newtons, N)
3. v : La vitesse (en m/s)
4. m : La masse (en kg)
5. k : Une constante d’ajustement

L’unité du rythme local est exprimée en m²/s³.

Cette définition offre une vision plus complète des phénomènes dynamiques, allant au-delà des référentiels espace-temps classiques. Mais bref, ces réflexions restent encore à approfondir.

Pour l’instant, je continue de remplir le blog, notamment avec des articles comme celui du jour sur l’intelligence artificielle. Même si je n’y ai pas apporté autant d’éléments personnels que je l’aurais souhaité, mon objectif est avant tout de construire une base. La qualité viendra avec le temps.